1882-2012 : 130 ans aux côtés des sapeurs-pompiers !

A l'occasion de ses 130 années d'existence, la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France vous invite à (re)découvrir les concepts et moments clés qui l'ont façonnée, et font d'elle aujourd'hui encore le socle toujours plus vivant pour tous les sapeurs-pompiers. Chaque jour de la semaine, un fait marquant de son histoire vous est proposé.

vendredi 30 mars 2012

[ INCENDIE ]



« Y a le feu ! » : une exclamation faite d’inquiétude, voire de frayeur. Elle peut devenir un cri : « Au feu ! » Un cri qui d’emblée signifie « au secours ». Alors, le secours a déjà un visage : celui, précisément, de combattants du feu...

jeudi 29 mars 2012

[UN CASQUE NICKEL CHROME]



Rutilant et résistant, le casque F1 est au pompier ce que le heaume était au chevalier, un emblème autant qu’un équipement de protection.

Déjà 27 ans d’existence, et pourtant le casque F1 reste révolutionnaire...

mercredi 28 mars 2012

[ TOUJOURS PLUS D'ADHÉRENTS ! ]


Effectifs de la Fédération : 85% des effectifs actifs des sapeurs-pompiers français ; jamais autant !

La premier objectif  de la Fédération est de fédérer, c'est-à-dire de rassembler tous les sapeurs-pompiers de France. Tâche ardue qui connut  des succès et des échecs, des avancées et des retours en arrière, au gré des circonstances.

mardi 27 mars 2012

[QUAND DU MAL NAQUIT LE BIEN]


 1926 : Naissance de l’œuvre des Pupilles et Orphelins et du fonds d’entraide des sapeurs-pompiers de France - 75 ans de Gestation !

En 1851 la loi Thouret reconnaît un droit à pension aux veuves et aux enfants des pompiers morts en  service ou  des suites des blessures et des maladies qu’ils y avaient contractées.  Il y eut ensuite des initiatives de Parlement en 1858 et en 1907 pour améliorer les pensions ou de la Fédération pour créer des Caisses de Secours.

lundi 26 mars 2012

[ D'OÙ VIENT LE MOT « SAPEUR-POMPIER » ? ]


Evidemment, le mot pompier(s), lui, est dérivé de pompe ! Attesté dès le XVIe siècle, il désignera d’abord le fabricant et réparateur de pompes (sens disparu). Puis, vers 1750, ce fut aux combattants du feu qu’il s’appliqua durablement. Mais, avec l’amélioration de la lutte contre les incendies dans les grandes villes, apparurent les termes de garde(s)-pompe(s), ou garde(s)-pompier(s) — le pluriel de garde, avec s, indique bien qu’il s’agit de la forme nominale (des gardes), et non verbale (garder).